Informaticiens : la pénurie des cerveaux n'est pas due à leur fuite
« 600 ingénieurs quittent le Maroc chaque année, » lit-on dans la presse. Politiques, directeurs de ressources humaines, patrons d’entreprises, le sujet est sur toutes les lèvres. Des départs qui commencent à inquiéter, au point de pousser un grand groupe d’informatique français, Atos, à annuler...